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  Dossier sur le changement climatique 

 

Les études qui avaient conclu que le réchauffement global est dû à l'homme (AGW) ont été souvent critiquées mais ces vues opposées aux tendances politiques n'ont pas été répercutées par les médias.

Un nombre croissant de scientifiques, appelés sceptiques, ont découvert des erreurs dans les travaux officiels et s'opposent aux alarmistes.

Ces sceptiques avaient reçu une couverture médiatique en 2008 aux USA. Les Européens n'ont appris qu'il y avait des sceptiques que depuis le fiasco de la Conférence de Copenhague.

Le réchauffement anthropique global en question

      Pour répondre à cette question complexe, les gens civilisés l'étudient de façon technique ou scientifique.

      Des méthodes et quelques résultats connus ou hypothétiques sont développés dans l'étude suivante. 

       Cette étude est imprimable dans un rapport joint (20 pages en pdf). (This report is translated here). Bien qu'il s'agisse de vulgarisation, ce rapport technique est assez difficile à lire. 

      Les points suivants sont développés dans le texte à imprimer.

Quelques conclusions du rapport

     Le GIEC n'a pas tenu compte des arguments de ceux qui n'étaient pas d'accord avec ses vues inscrites dans son programme : que l'augmentation de CO2 allait réchauffer la Terre de façon catastrophique. Les sceptiques s'opposent ainsi aux alarmistes.

      Une augmentation de CO2 a un effet presque négligeable sur la température du sol puisqu'elle est contrebalancée par une réduction de la vapeur d’eau, le principal gaz à effet de serre. On a pas démontré que l’augmentation du taux de CO2 ait un effet notable sur la température d'une Terre régulée par le cycle de la vapeur d'eau. L’alarmisme de l’AGW n’est pas soutenu par de la science établie, contrairement aux déclarations du GIEC, relayées par les partisans de l’AGW et les médias.

      Peu de scientifiques pensaient que l’évolution climatique à long terme soit vraiment prévisible. Personne ne pouvait donc être convaincu que l’homme était responsable du réchauffement (AGW) ou du contraire.

      Par contre, l’histoire des manipulations du GIEC (dont quelques unes ont été révélées par le Climategate) a convaincu plusieurs scientifiques de ce qui suit : Des groupes ayant un agenda ont employé des méthodes non scientifiques pour faire croire que l’AGW était réel et pour en tirer un avantage politique, financier ou autre.

Conférence de Copenhague

       Les politiciens des grands pays ont des conseillers scientifiques qui leur donnent, dans des rapports secrets, l’état réel des questions scientifiques, tout en attirant l’attention sur ce qui est politiquement incorrect.

      Ces dirigeants, surtout ceux qui ont une formation technique comme en Chine ou en Inde, n’ignorent donc plus que le réchauffement global , comme le risque de changement climatique, n’est probablement pas anthropique et n'est catastrophique que par rapport une façon moderne de vivre avec facilité. On prévoyait et on a constaté  que ces dirigeants informés ne prennent que des mesures sans conséquences pratiques (telles que la limitation à 2°C du réchauffement acceptable).

Les manipulations du GIEC étaient-elles justifiées ?

     Était-il nécessaire de monter cette gigantesque supercherie de l’AGW ? Des scientifiques pouvaient-ils croire que la mystification ne serait pas découverte (il semble que l'arnaque ait été montée par des affairistes et politiciens ignorants des contraintes de la méthode scientifique) ? La science y a-t-elle perdu une part de sa respectabilité ? Les organisateurs se sont-ils laissé dépasser par les événements qu’ils avaient lancés ? Depuis 1960, la lutte contre la pollution chimique a été extrêmement efficace sans l’aide d’idéologies ou de partis écologistes. N’aurait-elle pas été suffisante pour moderniser les générateurs d’énergie, améliorer les rendements et réduire les consommations ? Les actions déjà prise depuis Kyoto ont réduit le pouvoir d'achat de tout le monde et ont concouru à la crise financière, au chômage et à la perte de productivité de l'Occident. 

      N’était-il pas plus efficace d’alarmer seulement sur l’épuisement des combustibles fossiles : pétrole, gaz naturel, charbon ? Les remèdes auraient été assez semblables : économie d’énergie, isolation des bâtiments, transports moins gourmands, générateurs d’électricité ayant un meilleur rendement, cogénération, exploitation des autres sources d’énergie (fission et fusion nucléaire), recherche de biomasses productives.

Les manœuvres

     Des gens ayant des agendas très différents ont été incités à participer à l'alarmisme de l'AGW (marchands de gaz naturel, partisans d'un gouvernement mondial, bénéficiaire du 'fric climatique' et du business écologique, un business lucratif et souterrain).

  Les pétroliers, qui ont des réserves excessives de gaz naturel, semblent avoir un autre agenda car la lutte contre leur concurrent, le charbon, est basée sur la croyance en la nécessité de réduire le CO2. Ils aiment l’éolien pour vendre leur gaz, car l’éolien ne fonctionne plus s’il n’y a plus de gaz naturel comme backup (Sauf si l'on installe des centrales à charbon polluantes et au rendement uniformément faible, que le régime soit constant ou variable). L'option éolienne combat aussi l'option nucléaire qui serait reconnue indispensable pour assurer la production électrique de base si on ne pouvait pas faire croire que le renouvelable (en pratique l’éolien) fournira une énergie suffisante. 

       Des opportunistes politiques veulent profiter des signatures multiples sur des accords à Copenhague pour faire passer en douce quelques jalons pour renforcer leur pouvoir. Ces accords pour créer ou renforcer une administration environnementale de l'ONU seraient une étape pour rendre indispensable une administration mondiale  pour contrôler les quotas d’émissions de CO2 mais aussi d'autres problèmes internationaux. Des partisans de l’AGW vont plus loin et désirent un gouvernement mondial, dit multilatéral, mais qui risque d’être plutôt dictatorial, au service de la nouvelle religion de l’écologie profonde.

       On a probablement fait miroiter aux politiciens qu'un gouvernement mondial était indispensable pour combattre les changements climatiques car tout le monde doit y participer et seul un organisme planétaire a le pouvoir de localiser et réprimer ceux qui ne participent pas. Cela peut être valable mais devrait au moins être discuté. Il est assez choquant que l'on cherche à créer ce gouvernement par des moyens détournés, en cachant le véritable but à la population et en faisant croire qu'il le faut pour se préserver d'effrayantes catastrophes. Ceux qui suivent l'actualité de façon critique ont remarqué les messages de propagande qui ont inondé nos médias pour soutenir cet alarmisme. Ils étaient accompagnés de commentaires d'hommes d'action insistant qu'il était urgent d'agir sans être gêné d'énoncer cette stupidité. Un ministre belge était célèbre pour avoir dit: "J'agis puis je réfléchis" mais l'humour de cette boutade a disparu chez les alarmistes.

      Malheureusement le rôle de l'homme dans le réchauffement climatique a été exagéré tandis que les manœuvres (déjà révélées) pour le faire croire se sont révélées frauduleuses (Climategate), comme d'empêcher ceux qui contestaient la vision dominante d'avoir des crédits de recherche et d'être publiés.

      Le but de Copenhague ne semble pas de remédier au climat mais de faire signer un cadre gouvernemental qui permettrait à quelques élites (dont celle des hauts fonctionnaires) de pouvoir réaliser ensuite des réformes mondiales. Pourrait-on avoir confiance en un gouvernement qui a montré qu'il était incapable de s'entourer de scientifiques valables comme conseillers et de prendre ses décisions en fonction de la science et non des lobbies industriels. Par contre ce gouvernement a bien utilisé son argent avec lequel il est difficile d'acheter beaucoup de scientifiques mais avec lequel on peut monter des campagnes de relations publiques efficaces.

       On craint que, par rapport à la coalition qui a monté la campagne alarmiste sur le réchauffement climatique dû à l'homme (AGW), les chefs d’État n’aient pas l’indépendance suffisante par rapport aux médias publics et privés pour éviter les pièges préparés dans les règlements qui seront proposés à la signature pendant la Conférence de Copenhague

Conférence de Copenhague

     Dans tous les pays d'Europe (et aussi des États-Unis), on a constaté que les médias nous ont inondé avec la plus coûteuse campagne de relation publiques jamais vue pour préparer et accompagner le déroulement de la conférence de Copenhague. L'efficacité de cette campagne est d'autant plus forte qu'elle a choisi de provoquer l'émotion primaire de peur. Les scientifiques les plus côtés par les médias sont des 'alarmistes'. Les films documentaires montrant des catastrophes ont été retravaillés pour y inclure des petites phrase expliquant que cela arrive « à cause du réchauffement climatique ».

     Les destructions de l'environnement, y compris celles provenant des initiatives de lobbies verts, sont attribuées au réchauffement, ce qui justifie que  la mitigation soit indispensable. Même les épidémies sont expliquées par le réchauffement. Les problèmes causés par la surpopulations sont aussi expliqués par le réchauffement du climat. Toutes les catastrophes météorologiques ont trouvé ainsi leur cause ultime. Les tornades, les inondations, les sécheresses et les éboulements ne sont causés ni par des événements naturels, ni par des dieux mais par l'homme.

     Des révélations sont synchronisées avec la conférence. Même les spectateurs européens (qui ne suivent pas ce qui se passe dans le monde anglo-saxon) ont appris  avec stupéfaction que beaucoup de scientifiques avaient trouvé des erreurs dans les travaux de scientifiques subsidiés pour prouver l'AGW et que des sceptiques avaient déniché un Climategate. L'homme est responsable du développement technologique. On amplifie les dégâts et on oublie les bienfaits.

     Pendant la conférence de Copenhague, les médias s'étendaient sur des révélations du camp des alarmistes: On se lamentait que les catastrophes climatiques étaient déjà plus graves que celles prédites par les experts du Giec. Alors qu'on attend depuis une dizaine d'années les résultats du satellite AIRS qui devraient révéler si l'humidité de l'atmosphère augmente ou diminue, on a juste droit à des communiqués médiatiques (suite à la conférence de 'AGU') disant que le feedback de la vapeur d'eau est conforme aux modèles les plus pessimistes mais ne révélant pas le point crucial : Les données d'humidité des ballons sondes sont-elles fausses? Le profil atmosphérique correspond-il aux modèles des alarmistes ou des sceptiques? On sait que la vapeur d'eau a un effet de serre qui amplifie l'effet d'une variation du rayonnement solaire. L'atmosphère humide augmente la température de moins 18°C jusqu'à 15°C. Rien ne prouve qu'y ajouter un peu de CO2 a un effet notoire sur ce mécanisme naturel puisque le CO2 déplace un peu de vapeur d'eau. Publier des résultats non sur leur forme directe mais sous la forme d'un calcul discutable du feedback de la vapeur d'eau fait partie des manipulations conformes au Climate Gate.

     Comme le rôle du CO2 dans le réchauffement est remis en question, les partisans de l'AGW font craindre qu'une nouvelle catastrophe tout aussi douteuse nous menace : l'acidification des mers va y tuer toute vie. (Dans le dernier milliard d'années, des périodes où le CO2 était plus de 10 fois plus élevé n'ont pas trop gêné le développement de la vie).

      Les poussières noires (particules de suie) changent l'albédo de l'atmosphère et des glaciers (surtout de l'Himalaya), ce qui change la température de façon plus importante que ce que le CO2 pourrait provoquer. La Chine et l'Inde lutteraient plus efficacement contre le réchauffement climatique en nettoyant les fumées de la combustion du charbon, fumées qui produisent une atmosphère assombrie sur l'Asie du Sud-est, qu'en réduisant les émissions de CO2. On ne connaît toujours pas le rôle des nuages qui semble beaucoup plus important que celui du CO2.

    Comme prévu, aucun pays n'a voulu négocier dans l'urgence ce que demandaient des organisateurs qui ont prouvé que leurs manouvres, préparées de longue date mais révélées aux négociateurs en dernière minute, sont inspirées par des lobbies politiques ou industriels plutôt par l'intérêt général.

      Les lobbies ont persuadé les politiciens d'agir suivant leurs directives. Leur politique a consisté à effrayer et culpabiliser les électeurs par des messages médiatiques, ce qui a influencé les élus. Cette nouvelle forme de communication semble avoir été plus efficace pour atteindre des buts inavouables que les arguments rationnels qui n'ont pas été diffusés par les scientifiques dont les canaux de communication vers le public et les donneurs de fonds avaient été détournés vers des agences de relation publiques qui ont retravaillé leur travaux ("doctored" en anglais) avant de les diffuser dans la presse.

        Les climatologues ont perdu le nord. A l'Institut de Potsdam, on en sont réduits à expliquer un refroidissement climatique par le réchauffement climatique. Ceux qui commentent l'article se régalent.

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