Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne) 

 Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes 

 

Les protestations des riverains ne sont pas écoutées car les promoteurs ne peuvent pas reconnaître qu'ils apportent des nuisances sous peine de devoir payer des indemnités.

La négation des nuisances

      Les représentants des promoteurs ne peuvent jamais reconnaître que les éoliennes puissent présenter des nuisances sinon ils donneraient des arguments pour qu’on les condamne à des dédommagements énormes, ce qui explique leur obstination apparemment stupide à ne pas tenir compte des protestations spontanées des riverains et à comprendre les objections de travers.

     Les complaintes, malgré leur nombre, sont mises aux oubliettes, comme provenant de gens qui ne veulent pas reconnaître les avantages du progrès, sont sceptiques sur le réchauffement climatique et se plaignent de tout modernisme et de tout changement [29, 35].

       La brochure [54] prétend que les éoliennes seront arrêtées au coucher et au lever du soleil quand l’effet stroboscopique des ombres projetées au sol ou à travers les fenêtres par les pales des hélices produit des crises épileptiques chez les gens sujets à ces crises et des gênes dangereuses pour les autres. Il suffit de chercher sur Internet pour constater que tous les riverains se plaignent qu’on n’arrête jamais les éoliennes malgré les vagues promesses et la réalité des gênes.  

      Une brillante invention du lobby des éoliennes américain a été d’appeler ceux qui contestent les éoliennes des NIMBY « Not In My BackYard » (pas au fond de mon jardin) pour souligner le caractère égoïste qu’aurait cette attitude si les arguments environnementaux des promoteurs d’éoliennes avaient quelque autre valeur que de les enrichir, tandis que les NIMBY identifient leurs adversaires avec des promoteurs immobiliers, honnis depuis leur saccage des villes en 1960.

Retour