Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne)
Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes
Il n'y a pas lieu de se presser pour installer des éoliennes car les subsides anormaux ont peu de chances de survivre.
Tout milite pour un moratoire sur l'installation on-shore d'éoliennes.
Si, pour accepter de nouveaux projets de parc éoliens, on attendait 2012 (fin du protocole de Kyoto sous sa forme actuelle), la Belgique ne risquerait plus d'amendes même si celles-ci existaient.
Les Allemands construisent actuellement des centrales au charbon et ont donc abandonné, comme d’autre pays, l’espoir de satisfaire au Protocole de Kyoto. Cela affaiblit l’argument que la Wallonie doit se conformer au protocole de Kyoto en installant des éoliennes on-shore, alors que la géographie (densité forte de population) et la carte des vents (moins de 17 % de taux de charge) montrent que l’éolien n’y est efficace, ni pour l’environnement, ni pour la production d’électricité.
D'après un ministre, promoteur d'une politique de dépense éolienne maximum, la Wallonie ne devra pas payer d'amendes puisqu' elle est déjà arrivée à ses objectifs 2010 avec les permis déjà accordés [85] et qu'on ne devrait payer que 2 ans si ces amendes sont réellement contraignantes.
Les communes qui ont un bourgmestre et un ministre de l'environnement partisans des thèses des lobbies éoliens sont les plus sinistrées par des implantations industrielle d'éoliennes sans dédommagements réels. La malédiction est maximale quand le bourgmestre est aussi le ministre de l'environnement.