Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne)
Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes
Fameuses erreurs historiques comparables à l’engouement pour les éoliennes
En 1960, la mode du modernisme a fait croire à l’intérêt de construire de grands immeubles-tours dans les villes mais la valeur des maisons du voisinage en a été dévaluée et la convivialité du quartier a été détruite.
Devant les réactions des citadins, la plupart des projets de tours urbaines isolées sont maintenant refusées mais pas au point de faire détruire une tour construite. Il importe donc d’empêcher la construction d’éoliennes avant qu’elles ne soient installées.
Les tours urbaines avaient été construites avant que les riverains sachent qu’il y a des vents tourbillonnants à la base des tours, que la zone serait envahie par des employés non intégrés au quartier et que la possibilité de parking urbain disparaîtrait. Les voisins des tours qui n’avaient pas les moyens de déménager n’ont jamais réussi à se faire indemniser car on ne tenait pas compte à l’époque de ce qui gênait le ‘progrès’.
Les habitants voisins des éoliennes se plaignent de même d’avoir été piégés car les nuisances ne sont pas encore connues des campagnards à qui l’on fait croire qu’ils participent à la lutte pour l’environnement.
Après que les promoteurs immobiliers aient planté des building-tours en détruisant le tissu des villes, une écologie mal digérée risque de saccager les paysages naturels des campagnes.
Le symbole d’une tour surmontant une ville a changé de sens, illustrant maintenant l’avidité des promoteurs immobiliers. Comme l’image de la tour Montparnasse l’illustrait pour une vision bornée de la modernisation urbaine, l’image d’une éolienne servira plus tard à illustrer comment un enthousiasme irréfléchi pour une cause détournée de son véritable but, l’environnement, a fait prendre des décisions aberrantes et a enrichi des promoteurs.