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  Dossier sur le changement climatique 

 

Comment et par qui la mystification du réchauffement climatique dû à l'homme (AGW) est-elle née et a-t-elle été développée?

Il était difficile de trouver à qui profitait les règlements créés suite à l'AGW.

Le voile a été levé après le fiasco de la Conférence de Copenhague. Ce sont des journalistes indiens qui l'ont expliqué.

Un des mécanismes de l'AGW est le système d'échange des droits de polluer (Cap and Trade). Les sommes impliquées dépassent le trillion de $ par an, permettant aux organismes gérant l'environnement de se servir au passage.

L'Indien Pachauri, dirige le GIEC et aussi l'organisme indien Teri, qui a un pouvoir de décision concernant le Cap and Trade local.

Pour profiter du nouveau marché des Permis de polluer, il faut bien comprendre le mécanisme organisé pour cette arnaque et avoir un pouvoir de décision sur cette route.

L'échec de la tentative de faire signer les nouveaux règlements à Copenhague est-il l'indice que l'arnaque a échoué. Les pratiques européennes, où le Cap and Trade a été d'abord expérimenté, ne sont pas encore supprimées.

Les affairistes de l'AGW

      Une fortune a été consacrée à étudier le réchauffement climatique et à chercher le rôle de l'homme dans ce réchauffement. On a observé une gigantesque campagne de publicité pour cette trouvaille.

    Des idéalistes écologiques ont-ils lancé cette manœuvre? Des affairistes pouvaient-ils se rembourser en profitant des opportunités créées par les règlements organisant l'environnement?

     L'augmentation de CO2 dans l'atmosphère dépend directement de la consommation de combustible fossiles: pétrole, charbon, gaz naturel. Réduire le CO2 revient à demander qu'on extraie moins de combustibles fossiles. On peut aussi réduire un peu les émissions en remplaçant le charbon par du gaz naturel, qui émet 2 fois moins de CO2 par calorie produite. Les vendeurs de charbon profitent indubitablement de l'AGW. Une autre solution serait d'augmenter le nucléaire mais cela a été activement combattu, non sur des raisons scientifiques mais sut une campagne émotive qui a créé une psychose de peur.

Profits sur le marché 'Cap and Trade'

      Le marché du carbone est organisé sur le "Chicago Climate Exchange" par Maurice Strong et Al Gore, où ils auraient pu prendre une commission sur un marché qui aurait atteint 3 trillions de $ annuels si Copenhague avait été un succès. Les sites américains ont les meilleures information sur ces manœuvres. Enron a été consulté pour organiser l'arnaque. Le 'Cap and Trade' donne lieu à des fraudes et est critiqué et comparé à ce que Madoff a réalisé.

Coût d'une décision sur les certificats verts en Hollande

      Un livre explique la libéralisation des marchés de l’électricité: Amic E., G. Darmois, J.P. Favennec (2006) L’énergie, à quel prix ? Les marchés de l’énergie,, Editions Technip, IFP Publications de l’institut français du pétrole. Voici un résumé d’un extrait, page 137-138, qui explique un exemple d'utilisation des Certificat verts en Hollande : Les Pays-Bas ont instauré en 2000 des « Certificats vert ». Les sociétés de distribution (Essent, Nuon, Enerco, Delta) sont tenues de s’approvisionner avec de l’électricité verte suivant un quota fixé pour chacune ; en échange, elles ont des réductions d’impôts ; à défaut, elles ont des amendes. Ces avantages fiscaux valorisent le CV à 50€/MWh. Les centrales écologiques étrangères ne sont pas exclues. 17 TWh sont importés à 50€/MWh, ce qui totalise 850M€/an. EDF a alors repeint en vert ses importation d’électricité nucléaire à travers la Belgique. La puissance qu’elle importe est de l’ordre de 600 MW, ce qui correspond à 600 x 24 x 365 x 50 = 262,5 M€/an. Fin 2002, les députés hollandais annulent la prime verte. Les consommateurs hollandais auraient perdu de l’ordre de 2 G€ pour cette période verte.

      Il faut expliquer quels sont les gigantesques intérêts financiers dont parle Allègre à la page 233 : Le global warming planétaire est aussi le produit de la technostructure onusienne et, nous le verrons, on n’aurait pas atteint de pareilles extrémités s’il n’y avait pas eu derrière de gigantesques intérêts financiers, d’ailleurs plus ou moins liés à l’ONU.

     Le marché du carbone a été étudié par des journalistes spécialisés. Voici comment Jeremy Warner le résume: «Contrairement aux marchés traditionnels, qui impliquent des livraisons de biens sous forme physique, le marché du carbone est caractérisé par l'absence de livraison d'une substance invisible à personne. Puisque le marché tourne autour de la création de crédits de carbone, ou de la découverte d'un projet de réduction dont les bénéfices peuvent alors être vendus à ceux qui ont des surplus d'émissions, c'est entièrement intangible.  ...  Des comptables d'émissions carbone, vérifient, au nom des Nations Unies, que ces réductions sont réelles. L'affaire, bien que paraissant bien intentionnée, semble largement ouverte aux abus et arnaques.» C'est la véritable raison de la mystification du réchauffement climatique anthropique.

       La méthode européenne du "marché de droits d'émission" (EU Emission Trading System) a inspiré le « Cap and Trade » américain . Ces Certificats Verts ou "permis de polluer" ont de la valeur. Ceux qui les attribuent pourraient être tentés de les monnayer (illégalement). Ce sont les autorités de l’ONU, de l'EU et des pays concernés qui décident des quotas, des certifications vertes, des relevés de production renouvelable et des fixations des quantités allouées (cap ou quotas) pour chaque société et du taux de réduction annuelle du quota. Les organisations qui pourraient gérer ces transferts dans les pays en développement sont par exemple le TERI indien (Tata Energy Research Institute), devenu « The Energy Research Institute » depuis qu’il est dirigé par le Dr Pachauri, lequel est aussi en charge du GIEC et lequel ne voit pas de conflit d’intérêt entre ces deux emplois. D'autres fraudes sont déjà observées en Europe. Toute perte financière dans un pays y laisse moins d'argent pour créer des emplois. 

        On estime que ce marché du carbone ou des droits à polluer aurait été de plus d’un à 3 trillion de dollars/an en 2020 (500 à 1500 fois plus que celui de Hollande en 2000), du moins si les manœuvres de Copenhague avaient réussi. Les intermédiaires ont prévu de ne collecter que quelques pourcents des échanges, mais c’est déjà beaucoup. L’arnaque est plus importante que celle organisée par Enron pour la libéralisation de l’électricité (moins de 1 trillion $ de suppléments sur les ventes d’électricité aux USA de 1996 à 2001 : Chevalier J.-M (2004) Les Grandes Batailles de l'Énergie, Gallimard.). Comme le commerce des droits sur le CO2 n’est justifié que si l’AGW (Anthropic Global Warming) est confirmé, on comprend les sommes énormes que les lobbies de l’AGW ont pu consacrer pour fausser le processus scientifique du GIEC.

      Les marchés du « Cap and trade » et de l’électricité sont rendus complexes et confus pour y favoriser les coups de bourse. Bien que les auteurs de L'énergie, à quel prix? soient très prudents, on peut conclure de leurs commentaires que la libéralisation du marché de l’électricité a été une manœuvre d’une utilité négative pour le bien général. Ils ne parlent presque pas du renouvelable. La libéralisation est souvent attribuée à la droite mais elle a été aussi soutenue par d’autres qui voulaient mettre fin aux monopoles privés ou publics de l’électricité et du téléphone ou qui voulaient préparer un gouvernement mondial.

      Si le "Cap and Trade" avait réussi à passer à Copenhague, l'arnaque aurait été plus importante que celle d'Enron sur la libéralisation de l'électricité (dite dérégulation bien qu'elle ne soit qu'un changement de régulation).  Les règlements organisant le marché des permis de polluer sont suffisamment compliqués pour cacher qu'ils dépendent de l'autorisation de fonctionnaires et de politiciens à l'ONU, à la CE et dans différents pays et pourraient donc être des occasions de pratiquer la corruption. Les versions ont différents noms: Commerce du carbone, des permis de polluer, des émissions de GES. En anglais, Emission trading, Clean development mechanism (CDM), Joint implementation (JI). (Voir: Heidi Bachram (2004) Climate Fraud and Carbon Colonialism: The New Trade in Greenhouse Gases, Capitalism, Nature, Socialism, Vol. 15, N°4.)

     Cette méthode est celle du « Cap and Trade » américain ou des « droits d’émission » européens. Ces CV ou permis de polluer ont beaucoup de valeur que ceux qui les attribuent peuvent monnayer (illégalement).

     On estime que ce marché du carbone ou des droits à polluer sera de plus d’un trillion de dollars/an en 2020 (500 fois plus que celui de Hollande en 2000), du moins si les manœuvres de Copenhague avaient réussi. Les intermédiaires ne collecteront que quelques pourcents des échanges, mais c’est déjà beaucoup. L’arnaque est plus importante que celle organisée par Enron pour la libéralisation de l’électricité (moins de 1 trillion $ de suppléments sur les ventes d’électricité aux USA de 1996 à 2001 : Chevalier J.-M (2004) Les Grandes Batailles de l'Énergie, Gallimard.).

 Exemple de fraude

        Voici une fraude signalée par Reuters. Il faut être enregistré pour profiter du marché du carbone. Les registres administratifs des clients ont été piratés (Phishing) pour voler des permis d'émission et les revendre illégalement. Le marché mondial du carbone est de 144 G$ (y compris les droits d'émissions ETS de l'Europe). Pour réussir du phishing, le mieux est d'avoir la collaboration de la victime ou des administrateurs des registres, ce qui est difficile à prouver.

     Comme le commerce des droits sur le CO2 (et les fraudes qu'il permet) n’est justifié que si l’AGW (Anthropic Global Warming) est confirmé, on comprend les sommes énormes que les lobbies de l’AGW ont pu consacrer pour fausser le processus scientifique du GIEC.

       Les deux sections suivantes sont une traduction approximative de la page 5 d'un livret dénonçant les activités de l'AGW.

La crise financière des permis carbone est en marche

      Les permis carbone ne forment pas un marché libre. Personne ne verserait un sou pour un « permis » sauf s’il y était forcé sous la menace d’une arme. Une arme, quelle arme ?  Essayez donc de ne pas payer pour vos impôts ou pour vos émissions de  carbone. Derrière la scène, de grandes institutions financières agissent sous écran d’invisibilité. En 2008, le commerce mondial du carbone a atteint 126 milliards de dollars et on prévoit qu’il grossira jusqu’à un marché de 2 à 10 trillions de dollars, c’est à dire deviendra le plus grand marché du monde, plus vaste que ceux du pétrole, du charbon, du gaz naturel ou de l’acier

Les banques veulent faire commerce de notre carbone

       JP Morgan, Morgan Stanley, Citigroup, BNP, Paribas, Barclays, Deutsche Bank, Crédit Suisse ne sont que quelques-unes des institutions financières réclamant l’organisation du commerce des émissions (Aucune d’elles ne semble  demander une taxe carbone ?) Ceux qui vont servir d’intermédiaires (brokers) ont la garantie d’y faire fortune. Les journalistes qui répercutent les communiqués de presse du GIEC sans en chercher le bien fondé agissent (involontairement ?) comme des agents bénévoles de ces grands acteurs financiers.

       Le marché libre des droits à polluer n’est pas libre et n’est pas basé sur une matière mais sur des permis invérifiables et impossibles à comptabiliser puisque leurs actions dépendent de « motivations ».  Ces permis sont émis par des entreprises qui construisent des usines vertes qu’ils n’auraient pas construites aussi vertes autrement ("qui peut le dire ?"). Les deux auditeurs européens principaux ont été tous deux suspendus  ces derniers 12 mois. Les permis carbone n’ont aucune valeur autre que celle décrétée par les gouvernements. C’est une nouvelle monnaie par « fiat » que les institutions financières peuvent exploiter. Les banquiers en profitent – Vous payez.

       Le potentiel pour la fraude et la corruption n’est limité que par ce que les électeurs pourraient objecter (sur ce qu’ils en auraient compris). Un fois la législation en place, il sera impossible de la défaire sans que des indemnités énormes ne soient réclamées. Les grandes banques gagneront quoi qu’il arrive. Cela gobera les bénéfices de ceux qui produisent des biens réels. Le marché du carbone ne porte pas sur des biens physiques. Il n’y a rien de réel à échanger, juste des permis pour de l’air qui aurait pu avoir contenu plus de CO2.

Les permis de polluer de l'aviation

       L'Europe veut taxer les transports aériens mais, au lieu d'une simple  taxe, a introduit le mécanisme du Cap and Trade, y compris pour les compagnies aériennes hors d'Europe. Les milliardaires à l'origine de l'AGW, exploitants de la bourse du carbone, gagneront d'autant plus. Les promoteurs éoliens échangeront leurs permis contre les permis de l'aviation.

        Les opérations ne sont pas transparentes mais il semble que l'on échangera les permis de polluer de l'aviation et ceux de l'éolien. Les Chinois et les Russes devront ainsi payer pour les éoliennes européennes. Le marché est d'ailleurs inondé de CV, ce qui a fait baisser leur prix et rapporte à la bourse du carbone.  Il n'est donc pas étonnant que les pays non européens ont décidé de plusieurs mesures de rétorsion. Ces mesures vont diminuer le pouvoir d'achat des européens mais pas celui des dirigeants qui ont le contrôle du marche du carbone.

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