Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne)
Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes
400 combattants américains échappent à l’encerclement
pendant la nuit de Noël 1944 à Marcouray, proche de La Roche en
Ardenne.
La Roche est maintenant menacée par un autre genre d’envahisseur qui risque de détruire sa valeur touristique.
Hitler a joué son dernier coup d’audace en lançant une blitzkrieg pendant l’hiver 1944 à travers les Ardennes. Malgré les revers, l’armée allemande avait encore un très bon moral. La propagande nazie y était pour beaucoup. Goebbels cachait les défaites nazies. Les jeunes soldats, enrôlés comme militants fascistes depuis l’école, étaient pleins d’illusions.
Pour arrêter l’offensive allemande de 1944 à travers les Ardennes, les Alliés se sont établis sur une ligne de défense : Marche, Hotton, Soy, Erezée, Manhay, Trois-Ponts, Stavelot.
Les Rochois ont rebâti leur ville. La région s’est développée en grande partie grâce au tourisme mais elle est maintenant menacée par un autre genre d’envahisseur qui risque de détruire sa valeur touristique et son environnement idéal pour les promenades dans une nature extraordinaire et bien préservée. Le but intéressé des prédateurs est d’y installer une usine éolienne, transformant ainsi en zone industrielle une région naturelle à haute sensibilité paysagère.
Les citadins qui cherchent où aller pour se retremper dans la nature, loin des industries urbaines, chercheront sur Internet des localités au charme naturel préservé. Ces guides nature spontanés et indépendants feront éviter la destination de La Roche en Ardenne, polluée par une usine éolienne. Une chute de quelques pourcents du nombre de visiteurs aurait des conséquences sérieuses pour les emplois qui dépendent du tourisme, pour les commerces et pour la valeur des habitations qui peuvent servir de gîtes ou être louées ou revendues comme résidences secondaires.
Le site de Marcouray et de Cielle sera dominé par 6 éoliennes sur la crête de Beausaint - Vecmont. Les maisons à l’est de la commune de La Roche (Beausaint, Vecmont, Ronchamps, Ronchampay, Halleux) pourraient perdre de 10 à 40% de leur valeur, de même que les terrains à bâtir.
A la fin de la guerre froide, les militants qui croyaient de bonne foi aux idéaux communistes et au bon père Staline se sont rendus compte que la Russie n’était pas le paradis annoncé et qu’ils avaient été joués par la propagande soviétique. La jeunesse allemande avait été conditionnée depuis l’enfance aux idéaux fascistes et enrôlées chez les militants nazis, ce qui les préparait bien à la guerre. Après la défaite de l’Allemagne, les Alliés ont mené des campagnes médiatiques, obligeant la population à aller voir des films qui montraient l’horreur du fascisme mais il a fallu plusieurs années avant que la population se rende compte qu’elle avait été manipulée par son héros, Hitler. Staline et Mao ont aussi été célébrés longtemps après leur mort comme des dieux. Les nazis et les communistes furent soumis au dilemme des idéalistes manipulés qui sont amenés à devoir renier leurs engagements de jeunesse.
Les militants écologistes commencent à se rendre compte que leur belle cause écologique a été utilisée par des affairistes qui ont dévié leurs idéaux vers « l’écologie mal conçue » (d’après Christian de Duve, prix Nobel belge) ou vers « la fausse écologie » (d’après Claude Allègre qui parle d’imposture). Les militants ont été aveuglés par un battage médiatique pour les éoliennes comme les communistes avaient été aveuglés par la subtile propagande soviétique.
On révèle maintenant que les éoliennes terrestres ne font pas baisser les émissions de CO2 à cause de leurs centrales d’appoint que l’intermittence du vent fait fonctionner par à-coups comme des voitures qui consomment deux fois plus dans le trafic. Des affairistes gagnent des fortunes grâce aux permis de construire des usines éoliennes.
Des investigations privées, suite au « Climategate » et au fiasco de Copenhague, ont révélé que l’alarmisme sur le réchauffement climatique a été attisé par des affairistes gagnant des fortunes en trafiquant des permis de polluer alors que leurs solutions (éolien et « Cap and Trade ») se révèlent inutiles pour le climat et ne servent qu’à faire transiter vers la poche des affairistes les suppléments des factures d’électricité grossies par des Certificats Verts et les commission sur les échanges des ressources financières créées par les quotas de CO2 attribués aux industries polluantes.
Les Cap sont des quotas de CO2 (spécifiant le montant maximum des autorisations de polluer) attribués par des ministères de l’environnement. On crée ainsi une fortune virtuelle monétisée sous forme d’attribution de permis de polluer. Le Trade autorise l’achat de permis de polluer supplémentaires émis par des pays développés. Les pollueurs réduisent leur empreinte carbone en achetant avec de l’argent réel des réductions de pollution que des pays en développement prétendent avoir faites (ou n'avoir pas faites alors qu'ils les avaient prévues). Les organisateurs du trafic ('au Chicago Climate Exchange', dirigé par Al Gore et Maurice Strong) prélèvent de confortables commissions, comme il est de coutume pour toute aide versée aux pays sous-développés. Le Cap and Trade est aussi organisé par l'ONU sous forme de CDM (Clean Development mechanism) et par la Commission européenne sous forme d’un Emission Trading System (EU ETS). Le mécanisme est assez compliqué et international pour échapper aux enquêtes judiciaires.
Les fournisseurs d'électricité sont obligés de verser des CV pour prouver qu'ils ont rempli leur quota de renouvelable mais ils peuvent reporter leurs dépenses sur tous les consommateurs d'électricité. La Wallonie ne doit pas se sentir coincée par ces quotas puisque les autres pays européens ne vont atteindre qu’un quart de l’objectif de réduction de leur énergie que la CE leur a imposée pour 2020.
Le Communisme et le Nazisme utilisaient des aspirations idéalistes (justice social ou affirmation de la race) pour motiver leurs troupes alors qu’ils satisfaisaient en réalité l’appétit de puissance des dirigeants. Pour ne pas donner l’impression que la nouvelle croisade pour sauver le climat est motivée par d’énormes possibilités de gains, le principal organisateur, Maurice Strong, chargé de la réorganisation de l’ONU, a profité des conférences onusiennes qui réunissaient les religieux de toutes les tendances pour leur faire rédiger une « Charte pour la Terre », une sorte de manifeste religieux où le sauvetage de la planète et une écologie fondamentaliste devenaient un devoir moral aussi impérieux que ceux des religions. Cette charte fut ensuite endossée par l’assemblé des Nations unies qui n’y a pas vu le piège. Les militants écologistes sont ainsi persuadés qu’ils travaillent pour un but humanitaire élevé alors qu’ils sont en réalité au service d’une gigantesque imposture de détournement d'argent (d’après Claude Allègre) où la compétence scientifique a été sciemment écartée au profit de dogmes, en grande partie dérivés de la fausse écologie.
Le vent tourne : Le « Cap and Trade » est sérieusement remis en question par le sénat américain. Des délégués de la conférence de Copenhague ont flairé le piège et ont fait capoter les manœuvres. Le Danemark ne construit plus de parcs éoliens terrestres depuis 2003. L’Allemagne a décidé en 2010 de prolonger la vie de ses centrales nucléaires qui lui fournissent autant d’électricité que 12.000 éoliennes terrestres et de cesser de subsidier la construction de nouveaux parcs éoliens terrestres. Les installation d’usines éoliennes aux USA ont baissé de 71% durant les 6 premiers mois de 2010. General Electric a annoncé, en même temps que ses résultats trimestriels, que ses ventes d’aérogénérateurs ont fortement baissées. Vestas, le plus grand fournisseur d'éoliennes, est force de mettre à la porte une grande partie des ses ouvriers.
Ceux qui ont compris à temps que le Nazisme ne survivrait pas à la défaite et que le Communisme ne survivrait pas à la fin de la guerre froide se sont empressés de changer d’opinion, mais les militants occidentaux ont rechigné à ce retournement et ne l’ont admis qu’après que des campagnes médiatiques aient révélé comment on leur avait menti. La fausse écologie est encore au stade où seulement quelques responsables osent changer de camp. La route est longue mais le mouvement a commencé. « L'éolien, ça commence à bien faire!»
Les fournisseurs d’électricité défendent leur participation à l’arnaque en disant qu’ils ne font qu’appliquer des mesures décidées par des politiciens au niveau européen, relayés par des parlementaires nationaux et régionaux, acquis à la cause des lobbies éoliens. Le Communisme a mis des années avant de mourir. La Wallonie n’est pas à la pointe des changements d’opinions et ses représentants ne sont pas assez riches pour renoncer à des gains immédiats. Espérons que les Européens trancheront rapidement pour supprimer les malversations des affairistes de l’éolien et pour redonner sa respectabilité à la véritable écologie.