Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne) 

 Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes 

 

La politique énergétique de la plupart des pays européens a provoqué une catastrophe qui se répercutera sur nos enfants et petits enfants.

Cela est illustré par les projets de parcs éoliens à Warempage

Analyse critique des projets de parcs éoliens à Warempage

       Commentaire sur le Bulletin communal de La Roche en Ardenne : le mot du bourgmestre. Juillet 2013

        De tous temps, un impératif moral a été d’améliorer le sort futur de ses enfants. Les propagandistes écolos font croire qu’eux seuls y travaillent et cela grâce à la promotion des énergies renouvelables qui, prétendent-ils, devrait préserver le climat pour les générations futures.

La politique énergétique espagnole a sacrifié l’avenir des enfants et des petits enfants

      L’Espagne a montré les résultats de la politique énergétique désastreuse des écologistes. Les écolos avaient profité de leur majorité avec l’appui de partis de la gauche, pour installer un très grand nombre d’éoliennes, mais cet investissement non rentable a augmenté les dettes (officielles et cachées) de l’Espagne, en a épuisé les ressources financières et a été déterminant pour provoquer la crise économique catastrophique actuelle.

       Aux élections suivantes en 2012, un autre parti, plus à droite, a alors acquis la majorité. Il a supprimé les programmes subsidiant les énergies renouvelables et il essaie de récupérer l’argent indument détourné vers les promoteurs éoliens (32 milliards d’euros). Il tente de récupérer une partie en taxant l’éolien. Leurs efforts sont en train de redresser lentement les comptes espagnols.

       Manifestement, l’exemple de l’Espagne montre ce qu’il ne faut pas faire. En plus, on constate que les politiques du renouvelable à tout prix ne diminuent pas les émissions de gaz à effet de serre. Celles-ci sont aussi élevées en Espagne qu’ailleurs en Europe. Les gaz à effet de serre émis sont aussi très élevés en Allemagne où l’on a démarré 24 centrales au charbon supplémentaires pour remplacer le nucléaire. Seuls les États-Unis ont réussi à faire baisser les émissions par une politique favorisant les gaz fossiles de schiste.

L’influence subtile de la propagande sur le renouvelable

      Les communes sont influencées par la propagande subtile sur le renouvelable. Dans le bulletin communal de La Roche en Ardenne, le bourgmestre ne semble pas conscient qu’il est manipulé par les lobbies du renouvelable quand il parle des futurs parcs éoliens à La Roche.

       Deux fois, dans un texte de deux pages, il emprunte la méthode de propagande des lobbies  éoliens. Comme eux, il loue ceux qui se prétendent préoccupés du sort des générations futures, comme s’il était crédible que la politique du renouvelable allait vraiment améliorer le climat alors que cette politique a montré qu’elle appauvrissait significativement la population.

La fin de l’alarmisme sur le réchauffement climatique

      Quelle est donc la politique à suivre pour assurer le futur confort de vie de nos enfants et de nos petits-enfants ? L’exemple de l’Espagne montre qu’il est faux de croire que la politique des écologistes va améliorer leur sort.

      La plupart des Wallons, qui ne sont informés que par la RTBF (laquelle n’est pas objective sur les questions écologiques), ne semblent pas au courant que le Protocole de Kyoto, autrefois voté par l’ONU, a expiré en fin 2012 et n’a pas été renouvelé malgré des fortunes dépensées par les lobbies des renouvelables pour le faire prolonger aux grand-messes de l’environnement à Copenhague, à Cancun et à Durban. L’Union européenne fait semblant que le Protocole de Kyoto est encore valable en Europe, bien qu’aucun pacte similaire à Kyoto n’ait pas été voté de façon valable par le parlement européen.

       Le bourgmestre semble estimer qu’il est politiquement correct de défendre les options de l’ONU et de l’Union européenne, lesquelles ne sont plus soutenues que par le parti de l’écologie politique. Peu de partis osent s’opposer de front à la secte écologique pour ne pas être vilipendés par la presse et les médias, lesquels semblent acquis aux écolos.

La fin des engagements climatiques vis-à-vis de l’Europe

      Le Bourgmestre écrit : « Quoi qu'il en soit, afin de respecter les accords de Kyoto qui conditionnent très largement le futur confort de vie de nos enfants et de nos petits-enfants, l'Union européenne impose aux États membres une production de 20 % d'électricité à partir de ressources renouvelables. »

     D’une part, il est maintenant prouvé que l’application aveugle du protocole de Kyoto, au lieu d’augmenter le confort, provoque des crises économiques qui ne sont pas seulement inconfortables mais catastrophiques pour les populations appauvries, ce qui se répercutera sur nos enfants et petits enfants, comme le communisme, avait handicapé plusieurs générations, même après la disparition de l’URSS.

     D’autre part, il n’y a plus aucun engagement climatique contraignant encore en cours qui engagerait la Belgique vis-à-vis de l’Europe, malgré ce que veut faire croire une propagande médiatique et malgré des rumeurs de menaces de sanctions financières de l’Europe. L’Europe a répandu le slogan 20-20-20 mais ce slogan n’a aucune valeur contraignante.

     "Sur le climat, qui était pourtant ces cinq dernières années la priorité absolue de l'Europe, qui a construit un marché du carbone, qui a ratifié le protocole de Kyoto, et qui s'était fixé les objectifs des fameux trois fois vingt à l'horizon 2020, c'est un échec", a estimé G. Mestrallet, le PDG de GDF-Suez en juin 2013

      "Or, non seulement "le marché carbone s'est effondré", mais les centrales à gaz (moins polluantes) sont évincées par les centrales à charbon, conséquence indirecte de l'essor du gaz de schiste américain, ce qui provoque une remontée des émissions de CO2", a-t-il argumenté.

     "Sur la compétitivité, par rapport aux États-Unis, le prix de l'énergie pour le consommateur augmente en Europe alors qu'il baisse aux États-Unis, sous l'effet des taxes et du coût des énergies renouvelables qui est, dans des pays comme l'Allemagne, devenu presque insupportable", a-t-il diagnostiqué.

     "Enfin concernant la sécurité d'approvisionnement, les opérateurs européens ont augmenté leurs capacités éoliennes et solaires au moment où la demande était freinée par la crise, aggravant leurs surcapacités. Mais simultanément, « on a des sous-capacités pour les pointes », c'est-à-dire les pics saisonniers de consommation d'électricité," puisqu'on est en train de fermer à tour de bras des centrales à gaz", a-t-il déploré.

     Tous les pays ont abandonné les objectifs climatiques 2020 mais sans le proclamer. « La Région wallonne n'atteint pas ce seuil de 20 %. Elle n'atteint même pas les 7%. » Presque aucun pays européen ne fait mieux.

      Le bois est une source importante d’énergie en Wallonie mais il n’est pas comptabilisé comme renouvelable qualifié (E-SER) dans les comparaisons, puisque les habitants ont compris qu’il est plus rentable de l’utiliser pour le chauffage que pour générer de l’électricité.

      Il est notoire que la plusieurs pays européens ne vont pas satisfaire aux objectifs de l’Europe pour 2014 et presque aucun pour 2020 (sauf la Suède qui a beaucoup d’énergie hydraulique.).

        Depuis Copenhague, la presque totalité des pays (Europe exceptée) s’est rendu compte que l’alarmisme à propos d’un réchauffement climatique catastrophique causé par le CO2 issu de combustibles fossiles était exagéré ou simplement faux. La Terre ne se réchauffe que très lentement (ou même pourrait entrer dans une nouvelle ère glaciaire, comme nos températures semblent le montrer). Il n’y a donc aucune urgence à multiplier des technologies inefficaces comme le photovoltaïque ou l’éolien.

Quelle est la raison qui pousse le gouvernement wallon à poursuivre des objectifs injustifiés ?

      Le bourgmestre se croit obligé de défendre la politique du gouvernement wallon, alors que cette politique est combattue par une partie importante du parlement wallon et sera probablement réfutée aux prochaines élections. La façon dictatoriale avec laquelle le ministre écolo Henry écarte les oppositions et distribue des permis éoliens est de plus en plus considérée comme une arnaque, une méthode pour soutirer le maximum d’avantage pour les buts dogmatiques de l’écologie politique tant qu’il a le pouvoir.

      La politique du renouvelable à tout prix a été poursuivie en Espagne et en Italie, grâce à la coopération des mafias. Les opposants qualifient cette politique de « suicide assisté » de la Wallonie. La dette des Wallons augmente de 27 millions d’euros chaque fois que le ministre autorise un parc de 6 éoliennes. Chaque ménage wallon va avoir son patrimoine raboté de 6000 € pour cette lubie du renouvelable des écolos. Chaque Wallon ferait bien d'y réfléchir avant de reconduire ce gouvernement suicidaire.

      Le bourgmestre présente comme normal que le Gouvernement wallon se soit fixé, à l'horizon 2020, un objectif de 8 TWh (terawattheures ou milliards de kWh) d'électricité renouvelable dont une contribution d'énergie éolienne de 4,5 TWh.

       D’une part, l’objectif que l’Europe avait tenté d’imposer n’est que de 13% de l’énergie wallonne, or, en ce qui concerne l’électricité, 13% d’une consommation brute wallonne de 24 TWh ne fait que 3,12 TWh. Avec le bois (biomasse) et sa part d’éolien offshore et les générateurs déjà installés, la Wallonie a déjà bien dépassé cet objectif de 3,12 TWh, n’en déplaise aux services de relations publiques du gouvernement wallon. Les partisans de l’arnaque éolienne oublient systématiquement que la Wallonie a droit à 40% de l’énergie éolienne offshore (et qu’elle doit d’ailleurs payer pour les très onéreux Certificats Verts qui y sont associés).

       D’autre part, on sait bien que cet objectif stupide concerne 2020 et ne peut donc être valablement décidé que par la prochaine législature. La Wallonie a déjà installé trop d'éoliennes et se trouve sur une trajectoire  qui a déjà dépassé les objectifs qu'elle s'est laissé imposer par l'Europe, et qui n'ont rien de contraignant si la Belgique faisait preuve d'indépendance par rapport aux lobbies antinucléaires (le nucléaire est le concurrent du gaz naturel, lequel est produit en excès lors de la recherche pétrolière en Russie). 

     Tout laisse à penser que les objectifs ambitieux et inutiles de l'Europe seront réduits à ce qui est raisonnable après avoir donné la priorité à la reprise économique, en Wallonie comme dans les autres pays européens. Ces 4,5 TWh endetteraient les Wallons (dette remboursée par des suppléments futurs sur les factures d’électricité) de 4,5 milliard d’euros, soit une perte de 3000 € par ménage wallon, qui s’ajoute aux pertes dues au photovoltaïque, aux pertes immobilières des riverains et aux pertes dues au tourisme malmené (C’est en cela que consiste le « suicide assisté »).

Le GW tente d'éviter le gel des installations

       Alors que les consommateurs wallons, ceux qui doivent payer pour les suppléments du renouvelable, demandent un gel des installations d’éoliennes, le gouvernement wallon évite de corriger sa politique. Il ne fait qu’une concession médiatique sans effet pratique en réduisant l’objectif 2020 éolien de 4,5TWh à 3,8TWh mais cela ne porte pas sur l’objectif qu’ils ont le droit de changer, celui de 2014.

      Ce message médiatique laisse au ministre écolo Henry son pouvoir de nuisance pour persévérer aujourd’hui à poursuivre le suicide assisté de la Wallonie. Le gouvernement ne corrige pas un des aspects les plus dangereux du nouveau cadre de référence : la possibilité de construire des éoliennes de plus de 150m de haut et de puissance supérieure à 2,5 MW alors que les expériences d’Estinnes et de Bourcy ont montré que ces éoliennes font un bruit insupportable et dangereux pour la santé des riverains. Elles devraient êtres interdites. Dans un monde économique réel, des machines qui ont de tels défauts majeurs ne sont plus construites, contrairement à ces éoliennes.

Les communes sont-elles démunies dans une lutte inégale ?

       Concernant la production d'électricité, le bourgmestre dit que « l'autorité de la commune est faible mais nous n'avons pas le droit de fermer les yeux ». Le ministre Henry, fort des son pouvoir de tutelle, a en effet plusieurs fois montré qu’il ne faisait aucun cas ni des riverains représentés par leur commune, ni des fonctionnaires de sa propre administration.

      Le collège communal a pourtant de nombreux moyens pour protéger les habitants contre les pertes immobilières que vont subir ceux qui ont des biens immobiliers valorisés par la situation paysagère privilégiée de Warempage et de ses environs, maison et terrains qui risquent de perdre de 20 à 40% de leur valeur. 

- Puisque les projets de parc s’implanteraient sur des terrains communaux, la commune peut refuser de donner ses terrains.

- La commune peut interdire de construire des routes ou des raccordements au réseau.

- La commune peut imposer qu’un couloir, de 2 à 5 km des deux côtés des 2 Ourthe, soit protégé contre toute dénaturation paysagère.

- La commune peut instaurer une taxe dissuasive sur les éoliennes. (Puisque le bénéfice du promoteur est d’au moins un million d’euros par éolienne, il faudrait une taxe d’au moins 67 000 €/éolienne et par an). Edora, protégeant ses promoteurs, propose une taxe du dixième de ce montant. Une solution plus efficace serait de diminuer de moitié le montant des CV.

      La Roche devrait prendre exemple sur des communes soucieuses de protéger leurs habitants. Celles-ci ont financé des recours au conseil d’État, leur donnant plus de poids que les recours des particuliers.
Les communes peuvent protéger ainsi le patrimoine touristique qui est très important et est menacé par un site industriel d’éoliennes de 150m de haut et visibles à des kilomètres, ce qui dénaturerait le plateau de Warempage surplombant les merveilleux sites de la vallée de l’Ourthe qui entourent le site.

Comment aider la population des zones concernées à être correctement informée du danger qui la menace ?

      Considérons le cas de Nadrin. Ses habitants seront spécialement atteints par ces éoliennes géantes, car leur paysage, un panorama splendide (celui du Hérou) sera mité par des éoliennes à 3 km. Les habitants de Nadrin ignorent qu’ils risquent d’entendre en permanence le bruit d’un avion qui fait sans arrêt du surplace au dessus d’eux (Ce que les habitants d’Estinnes croyaient avant qu’ils se rendent compte que ce type de bruit provenait des éoliennes).

     Ce bruit est dévastateur, suivant des avis de médecins. Comme le montre l’expérience des éoliennes de Bourcy, ce bruit est lancinant les jours où l’on dort mal, même à plus de 3 km. Suite à ces nuisances, il faut s’attendre à une baisse de 30% de la valeur des maisons de Nadrin.

      Pourquoi, les habitants de Nadrin ne sont-ils pas au courant de ce qui les menace ? C’est parce qu’ils sont situés sur la commune de Houffalize plutôt que de La Roche, alors qu’ils sont bien plus près des éoliennes. Il faudra beaucoup de temps pour les informer.

Les règlements stupides doivent être contournés.

      Le bourgmestre dit vouloir tenir compte de l'absence de contraintes d'exclusion et du potentiel venteux. Il oublie que des contraintes d’exclusions existaient auparavant dans la carte Feltz et que c’est le gouvernement wallon actuel qui les a supprimées sans justification dans le nouveau cadre (CDR), une des étapes de l’arnaque éolienne.

      Les communes devraient éviter tout ce qui pourrait faire croire qu’elles participent à l’arnaque éolienne comme cela se passe ici ou la.

     Le potentiel venteux wallon ne justifie pas l’éolien. Il est très inférieur à celui de l’Espagne, où il était loin d’être suffisant pour rendre l’éolien rentable.

       Le bourgmestre reprend les arguments des arnaqueurs, signalant que les zones « acceptables » couvrent 3 % du territoire wallon. En plus de l’information officielle de la région wallonne sur le nouveau cadre, les communes avaient reçu une information non officielle (de Vent de Raison) mais  plus correcte. Ces informations signalaient qu’une zone était définie comme « acceptable » si elle était à plus de 450 m du pied d’une éolienne alors que le conseil de la santé recommande au moins 1,5 km et que d’autres prescrits médicaux demandent le double. En pratique, le nouveau plan éolien dévaluera plus du quart du territoire rural de la province de Luxembourg.

      Henry avait déclaré que le nouveau code était d’application immédiate. Il n’a pas dit que la nouvelle limite de 600 m est d’application immédiate, prouvant ainsi que ses décisions ont comme seul but de favoriser le lobby éolien et non la population dont il devrait assurer le bien-être.

Le fiasco de la consultation sur le nouveau cadre éolien.

       Le gouvernement wallon a fait pression sur les communes pour qu’elles soutiennent leur plan éolien. Sur les 268 communes wallonnes : 50,8% ont ignoré la demande de consultation ; 25% ont explicitement refusé de répondre. Au total, 75,8% ont rejeté cette consultation. 4,5% étaient favorables ; 3,8% étaient réservés ; 16% étaient défavorables.

       D’après le gouvernement wallon, cette consultation des communes correspondait à une consultation de la population, alors que seulement un peu moins de 4% des communes l'avait accepté. Les communes n’avaient que quelques semaines pour répondre, ce qui transformait cette méthode de consultation en une moquerie du processus démocratique. Une nouvelle consultation des communes est prévue mais il semble qu'elle devra se dérouler dans la précipitation et ne sera pas plus valable que la précédente. Des cartes valables (suffisamment précises pour les associer aux cartes cadastrales) seront-elles disponibles et y aura-t-il le temps nécessaire pour les analyser?

     Par exemple, les projets pour la région de Warempage sont flous et occasionnent des rumeurs mais ne donnent aucune information  qui permettrait de se faire une opinion.

Menaces sur la dette des communes

     Entretemps, le ministre écolo continue à endetter les Wallons et leurs enfants en acceptant des projets éoliens (et solaires), malgré l’opposition de la population et de sa propre administration.

      Les communes sont déjà surendettées mais on leur propose de s'endetter encore plus pour financer des projets éoliens alors que tout indique que ces dettes seront réfutées à titre rétroactif comme cela s'est passé en Wallonie pour le photovoltaïques et comme cela se passe maintenant en Espagne pour l'éolien.

       La commune de La Roche a des bois représentant un capital important mais on craint que les arnaqueurs à l'endettement s'emparent de cette garantie de dette (pour la détourner sur de l'éolien) et volent ainsi les biens des habitants de La Roche.

Des éoliennes qui ne correspondent pas à ce qui est autorisé

       Puisque l’administration belge (ou la CREG) ne mesure pas la puissance maximum réelle des éoliennes, des machines décrites comme ayant une puissance maximum de 2,2 MW au taux de charge de 23% sont plus probablement des machines de 3 MW au taux de charge de 17%. Le bruit des éoliennes augmente avec leur puissance réelle, de même que le risque de saturation et de panne du réseau, surchargé ainsi de 36%

Les générations futures vont-elles profiter des éoliennes wallonnes ?

       Comme pour des camions qui sont utilisés en permanence, la durée de vie des engins mécaniques (éoliennes ou camions) n’excède pas 15 ans et souvent beaucoup moins. L’approvisionnement énergétique apporté par des éoliennes, fort inconfortable pour les riverains, ne pourra donc pas, comme les vieux camions, être mis à disposition des générations futures. Les éoliennes ne se perpétueront que si les subsides (CV) se perpétuent au dépens de la population et des générations suivantes.

Zones pictoriales protégées

Warempage

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